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LES TRACES D'UNE INTERNATIONALE TERRISTE
Type de trace :
date de parution : 25:04:2025

Laurent Gervereau / Mister Local-Global a posé symboliquement le 25 avril 2025 (jour de la Fête de la Libération en Italie) à Cosio di Arroscia devant la maison de Piero Simondo et dans le petit bar où fut fondée le 28 juillet 1957 l’Internationale Situationniste :

- Vous pouvez appeler votre planète comme vous voulez, Pachamama ou autre. J’ai choisi la lettre T pour TERRA, la Terre. Quel autre but pouvons-nous avoir que de protéger les conditions évolutives de notre environnement, nous humains qui déréglons notre climat et multiplions les pollutions ? Affirmons donc d’abord notre attachement premier qui conditionne tout : notre NATRIE TERRISTE. A partir de cela, pensons comment vivre dans notre environnement direct et comment les humains doivent se comporter sur la planète. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Nous subissons des comportements erratiques de retardeurs criminels qui s’occupent d’intérêts à court terme de pouvoir et d’argent. Qu’en avons-nous à faire ? Arrêtons de subir pour partir des conditions de vie générales et de la diversité des solutions individuelles. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Rendons-nous compte que nous nous organisons en pays et en entreprises multinationales. Est-ce cohérent que seul le commerce traverse les frontières et que les nations continuent à s’entretuer ? Il est temps de penser du local au terrestre. Nous vivons de fait de façon stratifiée sans que nos organisations le soient dans un fédéralisme planétaire entre local-régional-national-continental-terrestre. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Arrêtons l’assignation identitaire en enfermant chacune et chacun dans des stéréotypes. La vraie richesse des humains est leur diversité individuelle. Nous vivons des identités imbriquées dans des aspirations cumulées par-delà les questions de sexes, de classes sociales, de croyances, de nationalités, de goûts, d’apparences… La guerre des sexes, la guerre des classes, la guerre des croyances, la guerre du fric, la guerre de la « beauté », ne font que des esclaves de ces guerres quand chacune et chacun gagne à la curiosité, l’expérimentation et la solidarité. Être individuel dans son environnement, ce n’est pas être individualiste se servant de son environnement, mais une personne qui comprend les gains multiplicateurs et VITAUX de l’échange. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Arrêtons de penser un Progrès qui est l’imposition d’une façon de penser et de se comporter souvent pour des raisons commerciales. L’épanouissement individuel est conditionné par les conditions environnementales (d’où une solidarité planétaire des humains indispensable) et par le lien aux autres dans notre vision directe. Il est temps donc d’arrêter d’imposer un technologisme idéologique pour défendre un tri rétro-futuro évolutif : choisir ce qu’on veut garder ou rétablir et là où on veut innover. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Nous ne réparerons pas les erreurs et les crimes de l’Histoire quand nous sommes incapables de nous occuper des guerres impériales actuelles et des autodestructions environnementales. Donc adoptons une vraie philosophie de la relativité dans une conscience historique. Nous avons besoin d’Histoire quand nous nous déchirons sur des guerres de mémoires absolues, excluantes. Les donneurs de leçons rétrospectifs sont insupportables, d’autant que les mêmes construisent les erreurs de maintenant et l’impensé de demain. Regardons nos situations aujourd’hui et leurs conséquences demain. Pensons nos organisations et la relativité de nos situations. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Les humains doivent parler un langage commun, celui critique, évolutif et expérimental des sciences. Sinon nous vivons dans les guerres de croyances et d’idéologies ou d’intérêts. Voilà pourquoi les fédérations de scientifiques comme le GIEC sont indispensables. Elles devraient se développer en GIEP pour les pollutions ou s’adjoindre des labels fédérés pour défendre des systèmes éducatifs pluralistes (EDUCRITIC) et des médias voulant apporter des informations diverses (PLURI). Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Nous sommes passées et passés (pour schématiser) de sociétés migrantes à des sociétés pyramidales. Aujourd’hui, les dystopies à l’œuvre brouillent les modèles avec un technicisme normalisant, le KONTROL de type orwellien censé imposer le BIEN et le PROGRES partout sur la planète alors que les insatisfactions sont partout et qu’en plus des sociétés qui réussissent dans leur écosystème à une forme d’harmonie environnementale et sociale sont détruites dans des crimes écologiques. L’autre dystopie est celle du KAOS, du sauve-qui-peut des retardeurs criminels qui se foutent des conséquences de leurs actes, qui intègrent les catastrophes en marchant sur les autres : une planète éclatée, des pensées confetti, des solutions à courte vue égoïstes sans se rendre compte que l’ici dépend de l’ailleurs. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Après le temps du papier lancé en Europe et Amérique du Nord au milieu du XIXe siècle et qui s’est répandu sur tous les continents, la Première Guerre mondiale a favorisé le temps de la projection (cinéma) puis l’après Deuxième Guerre mondiale le spectacle à domicile : la télévision. Aujourd’hui, nous vivons le temps du cumul avec les sociétés des spectateurs/trices – actrices/teurs. Chacun et chacun réagit plus par ses visions à distances que par sa vision directe, au point qu’une inexistence médiatique est une INEXISTENCE matérielle. L’obsolescence programmée dans la confusion des émissions et des propagandes et publicités détournent des réalités essentielles, celles de nos vies ici et de la situation des humains sur leur planète. Un tri rétro-futuro doit permettre de choisir et des dévirtualisations sélectives : DEVIRT. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Comment propager ces idées ? Comment s’organiser ? Faire gagner les principes et les idées est difficile quand on refuse l’enfermement des idéologies, la coercition des organisations de masse, quand on veut permettre la diversité des façons de vivre dans un souci commun de préservation de l’environnement terrestre ? Une Internationale Terriste ? Les médias traditionnels ou les réseaux sociaux fonctionnent de façon très déséquilibrée où ce ne sont pas les idées qui comptent mais la façon de les vendre dans un système où des milliards d’émissions d’infos s’émettent à chaque instant tandis que 10 news circulent massivement jusqu’à être remplacées. NEWS MARKET. Cette vente des nouvelles de plus induit la déformation médiatique où la vente des news oblige à un emballage qui souvent oriente la compréhension vers le scandale, les catastrophes. Il n’est jamais temps de partir de l’essentiel, LES VIES DES HUMAINS SUR TERRA, la planète Terre, pour organiser les agissements humains avec l’aide partagée des connaissances scientifiques comparées. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

- Pour toutes ces raisons, il faut multiplier les médias-relais, les médias intermédiaires pour faire circuler les priorités T TIME, pour faire remonter les informations, pour penser ici, aujourd’hui et ses conséquences sur demain. Les humains, entre KONTROL et KAOS, doivent s’organiser autrement. Il n’y a plus à attendre : rassemblons dans le refus des retardeurs criminels qui polluent tout (même l’espace), détruisent les cultures et les humains. Des économies diversifiées, la recherche de l’éthique et de l’impact environnemental et humain, voilà les grands buts collectifs à venir pour l’intérêt de chacune et chacun. Pas pour l’accumulation d’un argent virtuel qui n’a aucun sens hormis ce qu’il permet : renversons le raisonnement en choisissant les buts évolutifs et tirons-en les conséquences pratiques. De toute façon, nous vivons et vivrons dans la relativité de nos situations, la volonté de nos choix et la nécessité de peser sur les devenirs ici et sur la planète. Oui T TIME, un temps pour s’occuper de l’essentiel ici et partout.

VITE !



Les traces d'une Internationale Terriste
Type de trace :
date de parution : 25:04:2025

Le vendredi 25 avril 2025 (Fête de la Libération en Italie), dans le petit village de montagne Cosio di Arroscia, Laurent Gervereau / Mister Local-Global sur les traces d'une Internationale Terriste : ici dans le bar où le 28 juillet 1957 au matin après des dérives oenologiques de cave en cave Simondo, Debord, Jorn, Berstein, Pinot-Gallizio, Olmo fondèrent l'Internationale Situationniste (et n'oublions pas Elena Verrone, dont le mariage avec Piero Simondo eut lieu juste avant en juin 1957 à Alba, et Ralph Rumney avec Pegeen Guggenheim, Ralph qui prit les 38 photos aujourd'hui célèbres conservées désormais à Columbia University à New York).

Laurent Gervereau / Mister Local-Global :

"J'ai posé pour l'Histoire sur les traces d'une Internationale Terriste dans ce petit village devant la maison de Piero Simondi et aussi à l'intérieur du minuscule bar sur la place de l'église où fut créée l'Internationale Situationniste. Après avoir diffusé mon film T TIME, il est vraiment temps de lutter contre les retardeurs criminels, de se donner des buts terristes ici et pour les humains sur leur planète vitale".



CONTRE LES RETARDEURS CRIMINELS : T TIME
Type de trace : film
date de parution : 03/03/2025

Je ne peux accepter la folie criminelle de certains humains

T TIME. Un film (et 17 vidéos) de Laurent Gervereau / Mister Local-Global réalisé début 2025 pour partir de la priorité des humains, notre espace de vie : « T », TERRA, la Terre, notre planète commune unique. Alors que de différents continents s’agitent des « retardeurs criminels » occupés de guerres matérielles, commerciales, médiatiques, il faut s’occuper de l’essentiel, notre environnement commun, ici et partout. Cela veut dire agir autrement pour notre directement visible, ce qui nous entoure, et peser sur l’objectif central collectif : le devenir de notre biosphère et donc les agissements humains. Un film atypique. Un film pratique. Un film pour se secouer. T TIME !

T TIME. A film (and 17 videos) by Laurent Gervereau / Mister Local-Global produced in early 2025 to start from the priority of humans, our living space: “T”, TERRA, the Earth, our unique common planet. While on different continents there are « criminal delayers » busy with material, commercial and media wars, we must take care of the essential, our common environment, here and everywhere. This means acting differently for what is directly visible, what surrounds us, and weighing on the central collective concern: the future of our biosphere and therefore human actions. An atypical film. A practical film. A film to shake you up. T TIME!

(32 :42 – voir / see : nuage-vert.com / citoyliens.fr)

(image arrêtée jointe : dessin de G. Segard, que je remercie pour ses créations dans les 17 séquences. Et un grand merci à Citoyliens pour le partenariat)



T TIME
Type de trace : Appel terriste
date de parution : jj:mm:aa

J'ai beaucoup de retard et dans le parcours de ce site et dans ces traces, tant j'ai réalisé de choses. Ma notice wikipedia est actualisée au moins sur les publications et bien sûr le site nuage-vert.com

Fin 2024, j'ai tenu à réagir aux nationalismes et au technicismes commerciaux non choisis, destructeurs de nos conditions de vie. J'ai appelé en janvier 2025 à un T TIME, un temps d'initiatives terristes fédérées. C'EST URGENT !Arrêtons de perdre du temps de façon criminelle

Lisez : https://nuage-vert.com/category/petition-visuelle-pour-le-climat/appel-pour-ne-plus-separer-nature-et-culture-t-time



Réconcilier nature et culture
Type de trace : livre
date de parution : avril 2021

Un livre important.

Voici un livre qui ose aborder toutes ces thématiques en dessinant les pistes de sociétés de l’échange et du respect des différences. Il est plus que temps de travailler, non pas contre, mais ensemble pour s’adapter aux défis de l’époque en changeant l’échelle de nos pensées et de nos actes.

Ce livre très riche par deux auteurs à la compétence indiscutable vous offre des repères sur beaucoup de questions, dont une histoire longue de l’écologie. Il vous explique aussi en quoi, en temps de pandémie ou en temps « normal », nous devons devenir Terristes.

226 pages (18 euros en version papier et 10 euros en version électronique sur lulu.com)



Arbres & Plantigrades
Type de trace : livre
date de parution : janvier 2020

A vrai dire, je suis un peu dépassé par tout ce que je fais. La programmation de Nuage Vert - musée mobile Vallée de la Dordogne m'occupe beaucoup. C'est un bébé dont il faut prendre soin pour qu'il vive et se fortifie. C'est le cas. Il a belle allure et l'audience se démultiplie.

Dans cette rubrique, j'aurais donc dû intégrer les très nombreuses réalisations, événements et expositions. Je pense à janvier 2019 et l'exposition de Lorena Canottiere, prix Artemisia de la bande dessinée créée par des femmes, avec la partie guerres de propagande et fake news durant la guerre d'Espagne ou l'émouvante matinée sur les réfugiés espagnols en Limousin. Je pense à "Jardins du monde" avec l'exceptionnelle collection de maquettes de jardins de Jacques Hennequin. Je pense à "Lumière d'été, Prévert et le cinéma" qui a même été présentée au barrage de l'Aigle ou partagée avec l'association locale des travailleurs immigrés résistants présents durant le tournage du film. Je pense aux humains qui se végétalisent de Christelle Westphal et à ses cérémonies. Je pense à Jean Clottes ou Jean-Paul Demoule qui viennent échanger dans le cadre de "L'Art dans les villages". Je pense à la magnifique expo de Gg dans la chapelle Jeanne d'Arc. Je pense à janvier 2020 avec Claire Malary, grand prix Artemisia, et le loup. Je pense au soutien de l'Atlas de Biodiversité Communale, aux conférences et balades et projections de films (avec notamment Nathalie, la fille de Michel Serrault). Je pense aux incroyables 4 jours d'"Histoires de Passages..." sur le "Réveil des villages", avec parmi les moments extraordinaires, cette soirée de potlatch à Neuville menée tambour et coeur battants par Erro et Speedy Graphito !

Oui, je pense et puis j'oublie... Je suis un mauvais scribe de moi-même. Et j'ai la flemme de l'auto-célébration, quand cela reste surtout des moments de partage où je songe aux autres. Ceci dit, tout disparaît tellement vite et personne ne se souvient. Si l'on ne se fait pas un peu l'historien de son ego, on est gommé --sans avoir jamais existé publiquement d'ailleurs-- tandis que des matamores multiplient la pub incessante de leurs faits et gestes insignifiants...

Bon, mettons en valeur le premier livre de la collection "Les couleurs du Nuage". Il est consacré à "Arbres & Plantigrades. Les arbres poussent, les humains aussi". Vaste programme... C'est un délicat assemblage entre un très beau texte de Pierre Bergounioux et un autre du spécialiste des forêts Marc Deconchat, avec des photos de Jean-Claude Bouyat et des dessins de Gg. Il est achetable sur lulu.com pour 15 euros par carte bancaire (ou 5 euros pour récupérer la version électronique).

J'ai beaucoup de tendresse pour ce livre. Faites savoir, car dans le déséquilibre et la distorsion médiatique actuels, songez, par exemple, qu'en 15 ans aucune des expositions (avec livres conséquents) réalisées au Musée du Vivant à Paris à AgroParisTech, où je dirigeais ce premier musée international sur l'écologie, n'a fait l'objet d'un seul article ou reportage. L'écologie n'intéressait pas ou suscitait le rejet et l'ironie --quand tout le monde s'y précipite maintenant...-- et faire un musée dans une école d'ingénieurs n'était forcément pas sérieux.

Alors, il faut protéger ses petits bébés. Heureusement la presse régionale --moins noyée sous la surabondance d'informations qu'à Paris-- rend compte des événements locaux. Continuons donc à parler de ce livre quand d'autres se préparent, notamment avec Michelle Perrot ou Marc Dufumier.

Et ne nous faisons aucune illusion (est-ce utile et souhaitable d'ailleurs ?), d'ici à ce que des médias nationaux ouvrent les yeux... il faudrait qu'ils comprennent le "Réveil des villages"... Mais la conversion rurale ne s'est pas encore opérée. Il faudra l'exode urbain pour pareille prise de conscience.





BIOCULT
Type de trace : série d'oeuvres artistiques
date de parution : juin 2019

Ayant dû travailler à compléter ma fiche wikipedia devenue très réduite, je me suis confronté au cauchemar de ma vie : me définir et me résumer. Voulant poursuivre un mouvement expérimental d'explorations successives, bref m'amuser et découvrir comme l'ont fait des personnes que j'apprécie comme Vian ou Jorn ou Topor, j'ai brouillé les pistes en étant assez indéfinissable. Insaisissable, j'espère, au temps du contrôle et de la robotisation.

C'est une fierté. C'est aussi un handicap, quand l'univers médiatique actuel nécessite la simplification marketing. Chacune et chacun construit l'emblème de soi-même, son auto-caricature.

Ce long préambule pour vous dire que j'ai mis en avant les images et l'écologie (au sens large des rapports des humains avec leur environnement) comme piliers de mes travaux dans ce fameux résumé wiki. Heureusement, d'autres aspects sont évoqués.

Cette polarisation se traduit aujourd'hui musicalement (muziK botaniK avec le CD "BOTAziK" et le futur en préparation "Veg Vibes") et plastiquement.

Nous avons évoqué la série artistique "NA (New Anonymity". Parallèlement, je vous présente donc BIOCULT. Cette série plastique s'inscrit dans mes marottes depuis en gros 2005 où j'ai créé le Musée du Vivant, à vouloir réconcilier nature et culture, à faire de l'écologie culturelle. Cela s'est théorisé en juillet 2017 par le lancement de Nuage Vert - musée mobile Vallée de la Dordogne et en novembre 2017 par le colloque "Biodiversité et culturodiversité".

Déjà, enfant, je constituais des herbiers avec ma grand-mère. Je continue mes pérégrinations en fréquentant des botanistes. Bon, je bouffe de l'herbe mentalement et respectueusement.

Alors, BIOCULT, en différents formats (petits ou très grands), consiste à jouer sur des agencements visuels entre nature et culture. J'aimerais bien compléter cela par des bouts filmés, combiner images fixes et mobiles sur ce terrain. Et musique.




N A (NEW ANONYMITY)
Type de trace : série de créations plastiques
date de parution : mars 2019

La série de 8 figures intitulée "NA (New Anonymity)" vient de l'idée de prolonger en images ma lutte contre l'acculturation et l'inculturation ("Résistances des savoirs / Knowledge is beautiful"), commencée à Hong Kong le 3 novembre 2012.

Des personnes sont représentées en noir et blanc, tramées, telles des vues passées, et elles subissent l'agression d'un geste iconoclaste, comme il s'en fit déjà à l'époque antique.

Mes images peuvent circuler sans paiement de droits, juste en notifiant mon nom de créateur : Mister Local-Global. D'autres peuvent en inventer sur le même modèle.

Par cette série d'oeuvres, je suis revenu à des formes de représentations. Pour moi, c'est l'agrandissement très grand format de la série en intérieur ou en extérieur qui a du sens.

Je deviens une sorte de laboratoire (comme avec les "moving signs") pour des multiplications ou des déclinaisons de mes propositions. Je prépare ma disparition.




TOMES I-IV
Type de trace : livres
date de parution : avril 2018

NOUS VIVONS L'OBSOLESCENCE ACCELEREE... RESISTONS PAR DES PRODUITS DURABLES !

J'ai tenté de résumer une vie de créations écrites en 4 tomes. Le premier est le grand roman en 3 parties "Humain planétaire" ; le second rassemble des textes de la philosophie de la relativité ; le troisième offre quelques synthèses sur l'histoire du visuel et le décryptage des images ; le quatrième est consacré à l'écologie culturelle et à la bioculturodiversité.

Vaste programme... C'est disponible en version électronique ou papier sur lulu.com

Comme disait le chanteur "pour moi, ça veut dire beaucoup..." (et c'est si difficile de se résumer) mais, dans nos temps de hurlements médiatiques incessants, cela s'apparente à l'errance des poissons de très grands fonds...



BOTAziK
Type de trace : album musical
date de parution : juillet 2017

2014-2017 Mata-Utu / Paris / Hautefage. Tout est dit : 3 ans pour arriver à force d'obstination à réaliser cet album. Sans argent et avec des connaissances des milieux musicaux nulles au départ, ce fut très difficile. On est vu comme pas crédible. Et pourtant Stan Refet, Catherine Le Forestier, Areski Yanne Molenat, Gaétan Neuville, Vincent Pateau m'ont fait confiance.

Et cet album est unique, fort, très bien reçu. Il est original, cohérent. Il joue sur des collages musicaux, ma voix faisant lien. Il porte des messages clairs tout en étant poétique et séduisant. C'est un OVNI et j'en suis très fier.

Il est le premier du studio installé à Hautefage : maronne Oceans muzik (mOm). Un partenariat a été établi localement avec Des lendemains qui chantent. Les musiciens et groupes qui sont venus enregistrer sont très très contents du résultat (grande qualité sonore dans un lieu magique). Cela fait plaisir. Tout cela va se développer avec mon installation sur place et nous jouerons sur l'ici et l'ailleurs avec des juxtapositions musicales qui ont du sens.

Et ce sera diffusé sur multiterratv.net où est achetable déjà le premier album BOTAziK.



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