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15 : 01 : 18 |
HISTOIRES DE PASSAGES... 2018 |
LE PROGRAMME DES RENCONTRES-PROMENADES D'ARGENTAT SUR DORDOGNE EST EN LIGNE (19-22 JUILLET) SUR : histoiresdepassages.com
Plus de 50 événements gratuits pendant 4 jours de promenade collective à
travers ce pays magnifique pour déguster savoirs, savoir-faire et
créations ! C'est réjouissant ! Etonnez-vous !
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31 : 12 : 17 |
PLACONS L'AVENIR SOUS LE SIGNE DE LA MUZIK ! |
PLACONS L'AVENIR SOUS LE SIGNE DE LA MUZIK !
Nikita Mandryka (merci à lui !) a bien voulu créer une image pour le studio mOm (maronne Oceans muzik). Alors, de Corrèze, voici un message en images et en sons pour vous accompagner dans vos douleurs, vos doutes, vos joies et vos espoirs !
ECOUTEZ LES ORCHESTRES A GLOTTES ! ET BOUGEZ !!!
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05 : 12 : 17 |
LE PLUS CHARMANT DES CADEAUX ! |
LE PLUS CHARMANT DES CADEAUX !
Le petit livre "Le Passage" par Gg est enfin disponible sur Lulu.com
au prix de 24 euros. 40 pages au format 15X22 cm
DES TRACES PRECIEUSES, DROLES ET POETIQUES D\'HISTOIRES DE PASSAGES 2017
le lien :
https://www.lulu.com/shop/search.ep?keyWords=le+passage+Gg&type=
QUEL AUTRE CADEAU OFFRIR ?
NE VOUS POSEZ PAS LA QUESTION !
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04 : 11 : 17 |
Apprendre à voir : arrêter la cécité dans nos enseignements ! |
APPRENDRE A VOIR : ARRETER LA CECITE DANS NOS ENSEIGNEMENTS !
Ca commence à bien faire... Une révolution des enseignements est nécessaire pour enfin prendre en compte l'éducation au visuel : apprendre à voir est aussi important au XXIe siècle qu'apprendre à lire. A tous les âges. Voilà un défi majeur pour nos sociétés. Et les outils sont là : histoire générale du visuel, grille d'analyse des images, sensibilisation aux techniques et aux processus de création.
Ce petit livre de Laurent Gervereau (qui oeuvre depuis presque 40 ans sur ce sujet) rassemble des textes liés au portail decryptimages.net (réalisé avec la Ligue de l'Enseignement). Il vous ouvrira de façon synthétique à toutes les questions du rapport aux images aujourd'hui. C'est vif, incisif et pousse à réfléchir à tout ce qui fait notre être au monde à l'ère de l'ubiquité. Entre manipulations multiples et paranoïa complotiste : à lire, à diffuser vite (achetable sur lulu.com) !
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22 : 09 : 17 |
BOTAziK et T-Mania by Mister Local-Global |
BOTAziK et T-Mania by Mister Local-Global
Du lourd !...
Les 14 chansons de l'album BOTAziK sont en instance d'apparaître sur les divers Spotify, Deezer et autres... Ca commence et c'est déjà sur Spotify, iTunes, Google Play
Vous pouvez ainsi les écouter à loisir ! Et sans retenue ! Et faire circuler l'info !
Catherine Le Forestier, Areski, Stan Refet, Gaëtan Neuville, Michel Dintrich, Yann Molenat ont généreusement collaboré à ce pari commencé en 2014 (Mata-Utu / Paris / Hautefage).
Les titres sont très divers avec des collages/cut up musicaux. Les premières réactions très positives sur l'originalité et le goût addictif à l'écouter m'ont évidemment réjoui.
C'est le premier album du label maronne Oceans muzik (mOm), studio de Corrèze où viennent des personnes d'ici et d'ailleurs.
L'album matériel s'achète sur multiterratv.com
...et en bonus track vous disposez sur YouTube d'un petit clip (enfin finalisé) sur une chanson un peu expérimentale réalisée cet été lors des attentats de Barcelone avec un guitariste de jazz manouche, Tchiquito Lambert. Tapez sur YouTube : T-Mania by Mister Local-Global
Bonne écoute !!!
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17 : 09 : 17 |
DECRYPTIMAGES;NET NOUVELLE FORMULE LE 16 OCTOBRE ! |
RESERVEZ ET VENEZ FETER LE LANCEMENT DU SITE DECRYPTIMAGES.NET NOUVELLE FORMULE !
decryptimages.net est le plus important portail francophone d'éducation aux images. Doté de nombreux contenus, il bénéficie de collaborations entre l'Institut des Images et la Ligue de l'Enseignement nées dans les années 1990, d'activités en ligne lancées dès 2000 et rassemblées en 2008 dans le site decryptimages.net.
Aujourd'hui ce site fait peau neuve en rendant plus accessible ses ressources pour valoriser tous ses travaux de référence concernant la priorité du XXIe siècle : APPRENDRE A VOIR. Continuant à donner le dernier était de la recherche, il développe parallèlement --au-delà des expositions gratuites téléchargeables qui ont un très grand succès-- des modules pour tous les publics à différents âges.
LA MISE EN LIGNE DE LA NOUVELLE FORMULE SE FERA LE 16 OCTOBRE.
VENEZ LE LUNDI 16 OCTOBRE DE 18h A 20h A LA BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE SITE TOLBIAC (à l'aquarium près de l'entrée) POUR FETER AVEC DE NOMBREUX PROFESSIONNELS CETTE NOUVELLE ETAPE !
SIGNALEZ-NOUS TRES VITE VOTRE PRESENCE CAR LES PLACES SONT LIMITEES : decryptimages.net / contact
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25 : 07 : 17 |
ON A RALLUME LES LUMIERES ! |
ON A RALLUME LES LUMIERES !
4 jours magiques. 4 jours où jamais nous n'avions eu autant de
personnes à chaque moment, venues d'ici ou d'ailleurs. 4 jours aussi où
nous avons affronté les intempéries et dû annuler un spectacle (Les
artisans de l'Ephémère arrivés de Troyes)... L'équipe de bénévoles a
assuré par un travail vraiment incroyable et courageux. La population
s'est mobilisée en accueillant plus de 70 invités. Les intervenant(e)s
ont offert beaucoup de générosité et d'échanges, tel Speedy et Emily
parlant avec la population en réalisant la fresque (grand moment) ou Gg
qui non seulement a dessiné des chroniques pour ces
Rencontres-Promenades, mais offre à l'association le fruit de la vente
de ses dessins originaux exposés jusqu'à fin août au Kiosque de la
vallée à Argentat (un livre peut-être se prépare).
Que dire,
alors que nous sommes fatigué(e)s mais heureuses/reux et fier(e)s de ce
bel acte de résistance culturelle dans les temps de crimes et
d'obscurantisme où nous vivons ? Chaque édition d'Histoires de
Passages... est faite de moments uniques dans un agencement où nous
dégustons des savoirs, des savoir-faire, de la création et de la
gastronomie. Portés par un narrateur que je m'efforce d'être, cette
longue transhumance permet de découvrir personnes et lieux. Difficile de
ne citer que certains événements. Tous nous ont marqué, même quand ce
fut difficile : le concert d'Extatic devait avoir lieu dans le cadre
exceptionnel du barrage du Chastang et a dû être repoussé en intérieur
en fin de soirée au jardin public d'Argentat. Eh bien, j'y ai découvert
le déhanché redoutables de quelques-unes et quelques-uns porté(e)s par
une musique profonde...
Oui, beaucoup ont compris que dans notre
échange de générosités où tout est gratuit, les spectateurs ne sont pas
des CONSOMMATEURS mais des PARTICIPANTS. Ainsi --grand moment de
solitude--, je me souviens être arrivé à l'espace EDF samedi avec une
météo exécrable, avec grand retard, avec un concert annulé, avec un
appareil de projection des films de Raphaël Minnesota momentanément en
panne, avec un public qui attendait pourtant sagement, nombreux,
attentif et où Edouard Launet nous a soudainement transportés pour nous
parler de Sorbonne Plage, de cette communauté de savants atomistes
autour de Marie Curie, Langevin, correspondant avec Einstein à la
presqu'île de l'Arcouest et voulant bâtir un monde de paix... Très beau
souvenir.
Comme Monceaux entre Chemin de pensées, spectacle de
Marie-Laure Fraysse et Thérèse Canet, création de Claire Angelini et
lumières cinématographiques de François Albera, stand des Lumières de
Louis Rollinde et notre grande tablée si chaleureuse. Comme la mythique
"Porte du musée imaginaire" avec Choukri à la manoeuvre et France,
Francis, Jean-Claude qui se sont battus pour qu'existe matériellement
cette oeuvre marquante, futur totem d'un territoire dans un art visible
par toutes et tous et gratuit. Bon, je vais me mettre à égrener tout le
programme mais quand même, grosse émotion pour l'avenue Roland Topor et
sa soeur Hélène, et l'articulture de Sinono chez Naja Bendix,
formidable après-midi et soirée à Saint Martial Entraygues, les cabanes,
le jardinier Claude Bureaux, Prince Roro et Louis Winsberg qui nous font deux sublimes
concerts dans cette splendide petite église à l'acoustique intimiste, et
Grothendieck et... Et Krizek, un monde fou et ému avant de pénétrer cet
incroyable lieu grâce à Philippe Brugnon et notre collectionneur de
voitures, Saint-Privat où nous passons de physique quantique à
l'accordéon qui ont tous deux passionné, comme la forêt. Les gabares et
le spectacle de Marchegay et Broussot, Viincent Laffaire excellent avec
un saxophoniste subtil qui nous réchauffe de nos déboires climatiques,
l'équipe qui assure sur des repas locaux et fins. Et et et la mique avec
Prince Roro, Ory, Le Ny, Mandryka, K Dick, Speedy et Emily devant leur
fresque, Bergounioux improvisant sur gabarot avec Marie Binet qui lui
répond à coup de cuisine cannibale de Topor dans des joutes organisées
par Philippe Di Folco...
ET TOUS LES AUTRES ET TOUS LES MOMENTS
D'ECHANGES EN DEHORS DES EVENEMENTS ET TOUT CE QUI S'ECHAPPE ET TOUTES
LES AMITIES QUI SE NOUENT ENTRE DES PERSONNES QUI NE SE CONNAISSAIENT
PAS ET N'AVAIENT AUCUNE RAISON DE SE RENCONTRER.
OUI NOUS AVONS
BRAVE LES ELEMENTS ET NOUS AVONS RALLUME LES LUMIERES GRACE A TOUTES ET
TOUS, AVEC TOUTES ET TOUS, POUR TOUTES ET TOUS !
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13 : 06 : 17 |
POURQUOI UN LABEL "EARTH-VILLAGE / VILLAGE-TERRE" ? |
La décision du Président des
Etats-Unis de dénoncer l’accord de Paris sur le climat en juin 2017 --comme tant
d’autres actes moins directement visibles mais tout aussi néfastes—déclencha
une initiative : la création d’un label « Earth-Village /
Village-Terre » Pourquoi un
label ? Il ne s’agit pas d’un gadget de plus. Il s’agit de rassembler de
façon volontariste --car ces questions concernent tout le monde tout de suite--
autour de la défense de la biodiversité
et de la culturodiversité. L’originalité de la démarche consiste en effet à
enfin lier les deux priorités.
Précisons les choses. Défendre la
biodiversité ne consiste nullement à devenir les conservateurs de parcs
mondiaux que nous déciderions de rendre immuables, que nous figerions alors
qu’ils sont le résultat d’évolutions diverses, dont des évolutions climatiques.
Non, il s’agit de nous considérer comme un des éléments d’un environnement dont
les agissements humains produisent des modifications accélérées du climat et
–pire peut-être—des pollutions graves de l’air, de l’eau, de la terre. Nous
tuons en commettant des crimes écologiques qu’il va bien falloir enfin
caractériser et pénaliser.
Cela touche tous les milieux. Il
n’y a plus de différences entre les villes et les campagnes. Les océans
charrient des déchets dans des zones inhabitées. Alors, défendre la
biodiversité dans nos « villages », c’est décider à l’échelle de nos
communautés de vie (quartiers des villes ou petites structures agraires) de
penser à la défense de la diversité biologique comme composante première des
villes et des campagnes. C’est reprendre en mains directement nos pratiques de
proximité. Ce retour au local est la base de ce qui pèsera dans notre réalité
locale-globale, qui est trop faible à la fois en démocratie directe et en
organisation planétaire fédérée contraignante sur des enjeux communs.
Commençons ainsi par nous occuper de notre sphère « directement
visible », autour de nous, et faisons-le savoir pour peser sur les enjeux
globaux.
La chose est claire. Mais défendre
la culturodiversité peut sembler moins évident, annexe ou dangereux. De quoi
s’agit-il ? Il s’agit enfin d’affirmer le droit de vivre de façon
différente sur la planète avec des visions du monde variées et des coutumes et
des langues diverses. Défendre cette diversité et défendre cette diversité à
l’intérieur même des communautés géographiques. Non pas donc créer une planète
d’égoïsmes concurrents, de communautarismes fermés et exclusifs ou autoritaires
et expansionnistes, mais affirmer la possibilité du choix. A Miami, veut-on vivre la vie de la Creuse ou celle de
Ouagadougou ? Partout, nous ne pouvons fonder nos modes de vie sur
l’uniformisation des mœurs basée sur une consommation addictive de produits
standardisés. Défendre la culturodiversité c’est affirmer la nécessité
d’options individuelles et collectives « rétro-futuro », avec des
traditions choisies et des innovations.
Ainsi adopter le label
« Earth-Village / Village-Terre » est un engagement double :
celui de l’environnement physique et celui de l’environnement mental où la
tolérance existe dans une conscience claire des limites collectives de base
nécessaires. Il reste ainsi à bâtir un Pacte
commun planétaire évolutif qui interdise des choses simples --pouvant
paraître évidentes mais qui ne le sont pas dans notre monde de terrorisme ou de
peine de mort pour homosexualité ou de répression pour croyance religieuse ou
philosophique ou parce qu’on naît femme. La décision d’adopter le label
« Earth-Village / Village-Terre » est une première étape volontariste
dans une perspective pas seulement humaniste mais terriste. Elle doit être le moyen de lancer une vaste réflexion générale
grâce aux habitantes et habitants eux-mêmes, par propagation sur tous les
continents d’une volonté pratique de millions de groupes humains.
DEMANDEZ LE LABEL EN HAUTE DEFINITION SUR MULTITERRATV.NET !
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28 : 03 : 17 |
VOIR, REVOIR, AIMER TOPOR ! |
VOIR, REVOIR, AIMER TOPOR !
Allez à la Bibliothèque nationale
de France où Roland Topor reçoit un bel hommage qu'il aurait tant aimé
découvrir. Comment croire que Roland est
mort il y a 20 ans ? Son oeuvre est intemporelle. En images ou en
écrits, il laisse une trace philosophique, décapante, amusée et
désespérée.
Et sachez que
c'était un être humain d'une belle rigueur, d'une immense générosité,
d'un charme sans pareil et d'une intelligence si brillante. Comment ne
pas l'aimer ? Comment admettre qu'il soit mort ? Je pense à lui, comme à
Cabu et très peu d'autres, si souvent.
Au fait, j'allais oublier
: ressort aux éditions Alternatives le dictionnaire commencé avec lui
lors de jours et de nuits à son domicile de la rue de Boulainvilliers.
C'est une joie de retrouver ce bel ensemble qui montre la richesse et la
diversité de ses créations, sa résistance à la connerie, au harcèlement
du fisc et des médiocres. par l'humour, le désir, l'imaginaire et
l'effroi.
Merci Roland. Ne cédons rien !
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10 : 03 : 17 |
Un musée pour comprendre la différence |
Le 4 mars 2017, a lieu l'inauguration d'une nouvelle institution à La
Force près de Bergerac dont il a conçu le projet et dont il préside le
conseil scientifique : la Maison John et Eugénie Bost - un musée pour
comprendre la différence (maisonbost.com). Placée par lui sous cet appel
à "comprendre la différence", cette institution pluridisciplinaire et
gratuite appartient à la Fondation John Bost, qui accueille et soigne
des personnes (enfants, adolescents, adultes et seniors) souffrant de
troubles psychiques et de handicaps physiques et/ou mentaux, ainsi que
des personnes âgées dépendantes. L'originalité du musée est d'être la
carte d'un territoire et d'inviter à circuler dans ces lieux ouverts, de
provoquer des rencontres avec un parcours d'expositions évolutives
auxquelles participent les résidents. La première exposition a été
consacrée en 2017 à : Francis Masson, le Calder de La Force. Plusieurs livres sont sortis à cette occasion, dont La Saga Bost
(Labor et Fides), co-dirigé par Patrick Cabanel et moi-même,
qui retrace les persécutions sous Louis XIV de la famille originaire de
Beaumont-lès-Valence et la fuite à Genève, la diaspora sur plusieurs
continents et des personnages forts comme Pierre Bost (écrivain et
scénariste avec Jean Aurenche), Jacques-Laurent Bost, ami de Jean-Paul
Sartre et Simone de Beauvoir, ou le chanteur Renaud.
Aventure collective, c'est une très belle réalisation. Elle a mobilisé une centaine de personnes qui n'ont pas ménagé leur peine. Je remercie particulièrement l'équipe scénographique (François Payet et Anne Bourdais), la conservatrice (Ariane Dahan) et le staff de direction de la Fondation avec Olivier Pigeaud, Christian Feuillette et Christian Galtier, ainsi qu'Arnaud Bigex pour le site Internet.
L'inauguration fut un moment très chaleureux, fort, avec des réactions enthousiastes d'un public très très nombreux. Maintenant, grâce au comité scientifique prestigieux et attentif et les équipes sur place, il faut faire vivre cet outil très original.
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