Travail considérable. J'exposais pour la première fois, par exemple, les carnets de travail de Robert Capa saisis par la police française pendant la guerre et conservés aux Archives nationales. Mais, pour des raisons diplomatiques, je dus morceler l'opération avec ce lieu merdique qu'est le toit de la Grande Arche de la Défense. Critiques justifiées. Depuis, tout le monde s'arrache le livre et il a même été remis en place en librairie par l'éditeur au moment de la guerre d'Irak. Rencontres avec Riboud, Mc Cullin, Roger Thérond, Duncan, de Decker, Spengler... C'est, je crois, trace utile, bilan nécessaire. |