Dernier numéro de la revue. J'y lançais rien moins qu'un texte "où il est TRAITE DE LA VIE" et y plaçais une vue de la petite chambre de vie à deux avec un grand tableau qui inaugurait la série des "cadrages" en couleur après les "apparitions" en noir et blanc. Il était ésotérique. Un autre fut volé dans un déménagement. Je stigmatisais la colonisation muée en "très habile colonisation économique" et m'occupais aussi du devenir individuel : "Le mort-vivant voit la vie avec son charme de réalité éphémère". Chacun partit de son côté. Des années de transition difficiles, sous l'édredon, en résistance, dans l'anonymat total. |